Principauté de Fantispa
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 [Série]: Les 12 Apôtres de la Mort (Episode 9)

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defortia
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defortia


Nombre de messages : 1873
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[Série]: Les 12 Apôtres de la Mort (Episode 9) Empty
MessageSujet: [Série]: Les 12 Apôtres de la Mort (Episode 9)   [Série]: Les 12 Apôtres de la Mort (Episode 9) EmptyMar 6 Fév 2007 - 19:53

(résumé : Stratego décide de donner des armes chargées aux prisonniers, en vue de leur premier entraînement au tir. Branko a l'idée d'en profiter pour s'évader. Mais, au dernier moment, renonce à son projet.)

Chapitre 9 :



Après des jours et des nuits passés avec eux sur le champ de tir, Stratego accorda aux douze Apôtres de la mort » une plus grande confiance. Il redoutait le stade suivant, celui de l’entraînement aux grenades. Non pas tant par crainte d’une attaque des prisonniers, que pour la tendance manifestée par certains, comme Mickey Lamb, l’ex-sophyste de l’ACY, à rester paralysés de terreur, au moment de lancer la grenade, et risquant ainsi de se tuer et de tuer quelqu’un. Cependant, Lamb fut parfaitement capable de lancer sa grenade avec habileté et assurance. L’agent spécial autorisait aussi parfois le groupe à des petits déjeuners ou des dîners chauds à l’intérieur du baraquement, en compagnie des gardes. Après quoi, ils avaient droit à une soirée de détente. Colosseus s’était enfin décidé à apprendre à lire, écrire et compter. Plutôt que de jouer aux cartes ce soir-là-il trichait fort bien-, il choisit de rester avec ses manuels. Sarah Quibble voulut lui servir de préceptrice, mais Stratego lui demanda de n’en rien faire. Bientôt, les agents spéciaux de l’ARI eurent le plaisir de constater que Lamb, puis Grandclerc, comprenant les difficultés du sumérien, se relayaient pour l’aider.

-« Ils sont mûrs pour l’étape suivante », dit Stratego à Sarah, au milieu de la semaine. « Bientôt, ils auront à s’entraîner au saut en parachute. Je voudrais que vous fassiez avertir, au niveau des plus hautes autorités possibles, le Major Pettszakes, commandant des troupes de choc aéroportées de l’ARI, que nous arriverons à son camp le mardi matin, premier avril ».
Sarah Quibble parut hésiter :
-« J’avais espéré observer en eux des changements plus profonds. L’ennemi, pour la plupart, reste malheureusement, à mon grand désespoir, les autorités de ce pays, l’ARI, Cannon, les gardiens, vous, moi…Malgré tous mes efforts, la guerre contre les Kafards leur est indifférente : ils continuent à s’enfermer dans leurs difficultés personnelles. Après avoir vécu trop longtemps enfermés dans leur petit monde étroit, ils semblent incapables de s’adapter ou d’embrasser une quelconque cause, aussi grande soit-elle. »
-« On s’en fout pour le moment », rétorqua Stratego(Sarah sursauta au « on s’en fout » et plissa les yeux, un poil vexée). « Ils ont encore le temps d’évoluer, et je maintiens qu’ils sont prêts pour l’étape suivante. Je veux que les consignes données au Major Pettszakes soient très précises : il devra nous accorder un traitement de faveur, retarder tout programme en cours et mettre à notre entière disposition les facilités de l’école. Les instructeurs devront être placés sous mes ordres en vue d’un entraînement éclair ; d’autre part, ni lui, ni ses officiers, encore moins ses paras, ne devront poser de questions à nos hommes, sinon celles que nécessite l’entraînement. Il devra s’en référer à moi pour toutes questions de discipline concernant mon groupe. »
-« Heu…N’est-ce pas là exiger un peu trop ? Il est Major, et vous n’êtes que capitaine. Ne pourrait-on pas exprimer cela d’une façon, disons, un peu plus diplomatique ? »
-« Pas avec ce type-là. Il nous donnera des indispositions rectales, de toute façon. »
-« Mais il voudra savoir ce qui se trame chez lui… »
-« Et bien, je ne sais pas, moi…Dîtes-lui que nous avons des ordres supérieurs, que nous avons un général, un ponte de l’Etat-Major de l’ARI, par exemple. Vous trouverez bien quelque chose ! »
-« Bon, j’essaierai… » dit Sarah. Et elle repartit pour New Balnéa dans la matinée.


Quelques jours plus tard, ce fameux premier avril, Vector Branko conduisait le camion transportant ses camarades et les gardes, heureux comme un roi. Pour la première fois, il avait l’impression de retrouver une certaine forme de liberté, après quatre semaines d’entraînement passés dans ce sale camp. Le capitaine leur avait annoncé, la veille, qu’ils partaient dans un nouveau camp, appartenant aux troupes de choc de l’ARI(Stratego les appelait les « cow- boys », avec une nuance de mépris)pour débuter un cycle d’entraînement au saut en parachute. Plus que jamais, ils étaient tenus au silence. « Une seule gaffe d’entre vous », avait dit le capitaine, « et le contrat est annulé. » Devant lui roulait le 4x4 noir de Stratego, avec l’yssois comme chauffeur. Il fut pris d’envie d’accélérer pour les écrabouiller tous les deux. Le sergent Cannon, assis à ses côtés, une mitraillette sur les genoux, le tempera : « Hé Branko ! Modère-toi du champignon, veux-tu ? J’ai envie d’arriver entier à bon port, moi. »
Branko haussa les sourcils, avec un sourire malin, ralentit, et suivit la voiture de Stratego qui quittait la déméale pour s’engager dans un chemin de terre. Il aboutissait à une grille, au-delà de laquelle on devinait un grand nombre de baraquements installés dans une vaste plaine fermée par un aéroport. Stratego reçut le salut de la sentinelle et écouta ses indications sur le chemin à suivre. Du coin de l’œil, Branko repéra la tour de saut. Stratego arrêta le 4x4 et fit sortir ses hommes du camion. Une fois réunis autour de lui, il les obligea à regarder un agent que l’on hissait lentement au sommet de la tour. Salmonello s’approcha de Branko pour lui chuchoter à l’oreille : « Et ben ! On pend les types drôlement haut ici ! »
Tous regardèrent la suite avec une certaine appréhension, l’estomac noué.
On entendit un haut parleur demander : « Etes-vous prêt ? ». l’anneau d’acier qui tenait l’homme s’éleva encore d’un mètre et, tout à coup, le laissa tomber comme une pierre jusqu’à ce que le parachute se fût gonflé d’air. Branko se détourna, se pencha contre le camion, et lutta pour ne pas dégueuler…


Deux pelotons de parachutistes, portant les insignes des troupes de choc de l’ARI, étaient rangés en formation impeccable de chaque côté de la route conduisant à l’entrée d’un grand édifice qui semblait être le bâtiment principal du camp. En les voyant tirés à quatre épingles, Stratego se demanda si, par erreur, il n’arrivait pas au milieu d’une cérémonie officielle. Un air martial retentit, et le Major Pettszakes s’avança à la rencontre de Stratego. Ce dernier salua.
-« Soyez le bienvenu, capitaine. J’espérais bien vous retrouver un jour sous mes ordres », dit le Major avec un sourire pincé en lui rendant son salut. « Où est le général ? Le ton prioritaire des ordres reçus m’ont convaincu qu’il y en avait au moins un parmi vous. Je voudrais qu’il passe en revue mes hommes, à son bon plaisir naturellement. »
Embarrassé, Stratego fit travailler son cerveau à toute allure. Il se promit de remonter les bretelles de Sarah Quibble, qui les avait foutu dans la merde. Il se décida rapidement : puisqu’il attendait un officier supérieur, et bien, il allait leur en donner un…
-« Il est dans le camion, Major », répliqua-t-il à Pettszakes qui ouvrit de grands yeux.
-« Dans le camion ?... »
-« Oui, il voyage incognito pour cette opération…J’aurai cru que vous comprendriez cela, au moins. »
Le Major eut une expression de doute :
-« Et qui donc est ce général ? » demanda-t-il.
-« Le général Quidonc, oui, en effet », répondit Stratego poliment. C’est ainsi que vous devrez l’appeler : il n’a d’autre identité qu’un numéro comme le reste de mon groupe. Tout ceci doit rester secret, top secret même, ainsi que vous l’avez lu dans vos instructions. Je vous remercie pour votre accueil, mais il est inutile de nous désigner ainsi en fanfare. Nous comptions arriver ici le plus discrètement possible. Si vous voulez bien attendre une minute, je vais jusqu’au camion chercher le général. »
Pettszakes, qui ne décolérait pas, resta muet.
Stratego souleva la bâche du camion et examina ses hommes. Tous portaient des tenues de combat neuves, sans insignes. La seule différence entre les gardiens et ses « 12 Apôtres de la mort » venaient de la barbe et de l’odeur repoussante de ces derniers.
-« Hé les gars, qui veut être général pour 15 minutes ? » demanda-t-il. Il se tourna finalement vers Sosthène Picket :
-« Vous, Picket ! »
-« Moi, mon capitaine ? »demanda le désigné. « J’aimerai mieux être civil, moi… »
Les autres ne purent s’empêcher de pouffer. Stratego le foudroya du regard.
-« Qu’est-ce qu’il faut faire ? » demanda-t-il complètement perdu.
-« Avoir l’air raide, désagréable, et quoiqu’il arrive, même si vous avez envie de lâcher un pet, faites-le avec autorité. Il y a là un Major. Quand il vous saluera, rendez-lui son salut. S’il vous tend la main, ignorez-le, sans prendre la peine de lui parler. Tout ce que vous avez à faire, c’est de passer devant leur peloton et à disparaître dans leur bâtiment. Nous vous suivrons et je reprendrai alors les rènes. »

La musique se tut enfin. Les paras présentèrent les armes. Picket rendit le salut de Pettszakes avec hauteur, et passa, guindé, mastiquant son chewing-gum, devant le détachement d’honneur, suivi de son groupe d’ « Apôtres de la mort » au grand complet. Devant Stratego effaré, mais qui se contient pour garder bonne figure, Picket commenta : « ils sont très jolis, major, vraiment très jolis. »
-« Merci, mon général », répondit Pettszakes interdit.
-« Ils savent se battre ? »
-« Oui, mon général. »
-« Je l’espère pour vous. »
Stench, Workaholic, Vance, Branko et Salmonello eurent du mal à se retenir pour ne pas éclater de rire.
Picket s’arrêta enfin devant un para des troupes de choc et lui demanda :
-« Dîtes-moi, mon garçon, d’où venez-vous ? »
-De Perdu, Dangloyre, mon général ! »
Picket secoua la tête et répondit, cassant :
-« Jamais entendu parler ! »
Terminant sa revue, il s’engouffra dans le bâtiment, suivi des autres écroulés de rire. Stratego prit à part le « général » et le menaça, furieux : « recommence encore ce coup-là et je te casserai personnellement ta sale gueule, c’est compris ? ». L’autre baissa la tête, tout penaud.
« Et maintenant, regardez autour de vous, imbéciles ! » cria Stratego. « Vous venez de rire pour la dernière fois avant longtemps ! A la fin de la journée, plus personne n’aura même la force de pleurer ! »
Un lieutenant entra et dit au capitaine que le Major désirait le voir dans son bureau.


« Cet abominable clochard est vraiment général ? Le général Quidonc ! Je vais vous apprendre à vous foutre de ma gueule ! » s’emporta Pettszakes.
-« Major, vous m’avez demandé un général, vous l’avez eu. Ne m’en demandez pas plus. Il ne m’est pas permis de dévoiler l’identité ou le service de mes hommes. Telles sont mes instructions, qui viennent de très haut. Comme vous avez lu attentivement les vôtres, vous verrez que je ne suis pas sous vos ordres .»
-« Si vous n’aviez pas de protecteurs haut placés, je vous ferai jeter vous et vos pochards hors d’ici en trente secondes ! Vous êtes la honte de l’ARI, capitaine ! Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que vous soyez rétrogradé !»
-« En ce moment, major, vous me rendriez service. Puis-je continuer à vous exposer mes besoins ? »
-« Allez-y », murmura le major dégoûté. « Plus tôt vous commencerez, plus tôt je serai débarrassé de vous. »
-« Merci major. Il va s’en dire que j’enverrai au QG de l’ARI un rapport indiquant la chaleur de votre coopération. »


L’entraînement commença selon un rythme infernal, accompagné des tensions qu’amenaient les sauts dans ce que les prisonniers appelaient « la salle de torture ». Après les dures semaines d’entraînement du camp d’Ydel, Grandville pensait se trouver en bonne forme physique. Mais Stratego et deux instructeurs crevèrent le groupe dans une série d’exercices comprenant des courses à pied sur la base ou à travers champ, poussées jusqu’au bord de l’éclatement des poumons, sans autre but, semblait-il que de voir les hommes s’effondrer et se relever, contraints et forcés. Il y avait, entre les courses, des séances de gym-cinquante minutes sans un arrêt, pratiquées sur un tas de sable. L’effort était, évidemment, quadruplé.
A la fin de la journée, les hommes revenaient, silencieux, le visage torturé. La plupart s’endormaient, vautrés dans le camion, affalés les uns sur les autres.
Le second jour, Stratego monta avec eux en haut de la tour de saut, leur donna ses instructions et les expédiait au sol. S’ils résistaient, ils les poussaient. Ils atterrissaient alors sur des matelas de toile. Là les attendait un instructeur qui leur gueulait aux oreilles : « jambes serrées ! Genoux pliés ! Roulez ! »

Une fois le matin et une autre l’après-midi, ils étaient autorisés à se rendre aux toilettes, par groupes, gardes et prisonniers ensemble. Workaholic s’attarda un peu, si bien qu’il se trouva à quelques pas en arrière de ses camarades. La porte se rabattit sur lui et quatre bras l’agrippèrent. Deux paras costauds le tenaient solidement.
-« Hé les gars ! Que faites-vous ? Laissez-moi partir, quoi ! » protesta-t-il en tentant de se dégager.
Ils le traînèrent à reculons :
-« Du calme, mon gars, nous voulons juste te poser quelques questions… », dirent les armoires à glace en l’acculant au mur.
-« Des questions ?... ». Workaholic décida de ne rien dire et d’essayer de s’échapper. C’était sûrement un truc du capitaine pour savoir s'il vendrait la mèche ou pas.
Il se pencha, poussa ses poings contre la mâchoire d’un des hommes et sauta de côté sur la larynx de l’autre. Mais il ne rencontra que du vide : sur ses mains s’abattirent comme un coup de battoir. Il s’écroula au sol, essayant de reprendre son souffle. Les deux paras l’immobilisèrent au sol, après l’avoir roué de coups de pied :
-« Très bien, espèce de salopard…Maintenant, tu vas parler ! Ton nom ? »
-« Numéro 7 », aboya Workaholic.
-« Ce n’est pas ton nom, ça…Où est ta plaque ? »
-« Je…Je l’ai bouffée ! », articula le garçon de Dangloyre, qui parvient à dégager un bras. Vivement, il envoya un direct à la mâchoire d’un des paras. A ce moment, intervinrent Grandville et Colosseus. Les deux paras lâchèrent leur prisonnier et firent face. Contre le géant de Sumer, c’était comme frapper dans un mur. Colosseus projeta son adversaire contre les portes des toilettes qui cédèrent sous le choc, tandis que Grandville se débarrassait du sien par deux manchettes à la poitrine et au cou, avant de lui plonger la tête au fond d’un WC.
Ils aidèrent ensuite leur camarade à se relever et sortirent des latrines.
Stratego, qui venait de constater le retard de Grandville, Colosseus et Workaholic, alla au devant d’eux.
-« Que t’es-t-il arrivé ? » demanda-t-il à la vue des vêtements déchirés et du visage meurtris du garçon de Dangloyre. « Tu t’es battu ? »
-« -« Deux paras…pour me…faire…parler… »hoqueta Workaholic furieux. « Vous devriez…bien…le …savoir, mon capitaine ? »
-« Qu’est-ce que tu veux dire ? »
-« Vous avez bien envoyer ces deux types après moi, non ? »
-« Quels deux types ? » Stratego, qui venait de comprendre, prit Workaholic à l’écart. « Tu n’as pas parlé, n’est-ce pas ? »
-« Vous rigolez ? Je croyais que c’était un truc à vous pour nous tester…. »
-« Très bien ! Rejoins tes copains. Tu t’en es très bien tiré. Vas dire aux autres ce qui s’est passé. Dis-leur de se tenir sur leurs gardes et d’appeler à l’aide si nécessaire. Je n’étais pour rien dans tout ça, je te le jure. »
Il décida de ne rien dire à Pettszakes et de ne pas intervenir pour l’instant. Mais, les comptes se règleraient tôt ou tard…

(A suivre)
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